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François Raynouard, Lexique roman ou Dictionnaire de la langue des troubadours, comparée avec les autres langues de l’Europe latine, 1838–1844 → consulter cet ouvrage
Com evident experiència mostra, la debilitat de la nostra memòria, sotsmetent fàcilment a oblivió no solament los actes per longitud de temps envellits, mas encara los actes frescs de nostres dies, és estat doncs molt condecent, útil e expedient deduir en escrit les gestes e històries antigues dels homens forts e virtuosos, com sien espills molt clars, exemples e virtuosa doctrina de nostra vida, segons recita aquell gran orador Tul·li— (Joanot Martorell, Tirant lo blanc, prologue)
Dérivé de doctor, avec le suffixe -ina[1] (« enseignement fourni par le maitre ») avec crase ; par opposition à disciplina (« apprentissage, travail fourni par le disciple »).
Stilponem, Megaricum philosophum, acutum sane hominem et probatum temporibus illis accepimus. Hunc scribunt ipsius familiares et ebriosum et mulierosum fuisse, neque haec scribunt vituperantes, sed potius ad laudem; vitiosam enim naturam ab eo sic edomitam et conpressam esse doctrina, ut nemo umquam vinulentum illum, nemo in eo libidinis vestigium viderit.— (Cicéron, De fato)
Stilpon, ce philosophe mégarique, était, à ce que l’on nous rapporte, un homme fort ingénieux, et jouissait, de son temps, d’une assez belle renommée. Nous pouvons voir, dans les propres écrits de ses amis, qu’il éprouvait une vive inclination pour le vin et les femmes ; et ce n’est pas pour le décrier qu’ils en parlent, mais plutôt pour le louer ; car ils ajoutent qu’il avait tellement dompté et subjugué cette nature vicieuse par la force de la discipline, que jamais homme au monde ne le surprit dans l’ivresse ou agité de mauvaises passions. — (Du Destin)