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Savoir faire la part des choses; dans un ensemble d'informations, croire certaines choses et ne pas en croire d'autres, ou accepter certaines choses et en rejeter d'autres. Note : Souvent utilisé sous la forme « Il faut en prendre et en laisser. »
j’avais une trouille bleue que la Vierge m’apparaisse, après j’aurais été obligée d’être une sainte et je n’y tenais pas. Je voulais voyager, manger des papayes et du riz avec des baguettes, me servir de mon mien, et devenir docteur ou institutrice. De leur discours, j’en prends donc et j’en laisse.— (Annie Ernaux, La femme gelée, 1981, réédition Quarto Gallimard, page 356)
Que des politiciens fassent un usage abusif des mots, cela fait presque partie prenante de leur métier. Et nous avons appris à en prendre et en laisser.— (Voir, 9 janvier 2012)
« Je pense qu’il prend ça avec philosophie, a estimé l’acteur. Ce n’est pas la première fois qu’il se fait attaquer. Un tissu de niaiseries a déjà été écrit sur La petite vie, et ç’a fait des cotes d’écoute de quatre millions… Il faut en prendre et en laisser. »— (Le Huffington Post Québec, 20 septembre 2012)
Louise Harel, qui a joint la Coalition Montréal de Marcel Côté, a dit prendre avec un grain de sel un sondage mené en début de campagne. « En 2009, si j'avais écouté les sondages, je serais maire de Montréal parce qu'il y a eu trois sondages successifs à un mois de l'élection où j'avais 40 %. Donc, les sondages, il faut en prendre et en laisser. »— (Le Devoir, 7 octobre 2013)