et cætera

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Voir aussi : et coetera, et cœtera

Locution adverbiale

et cætera \ɛt se.te.ʁa\ invariable

  1. Variante orthographique de et cetera.

Locution nominale

et cætera \ɛt se.te.ʁa\ masculin invariable

  1. Variante orthographique de et cetera.
    • Le reste de la phrase n’est exprimé que par un et cætera.
    • « Dieu nous garde d’un quiproquo d’apothicaire, et d’un et cætera de notaire. » — (Proverbe cité dans la 6e édition du dictionnaire de l’Académie française)
    • Mettre trois et cætera de suite (etc., etc., etc.).
    • Un notaire ne peut donc retrancher dans ses actes ni des phrases ni des mots, ni mêmes des lettres nécessaires. L’abus était poussé si loin dans l’ancien droit qu’il était passé en proverbe de dire : Dieu nous préserve d'un et c­ætera de notaire ! Si un notaire suppléait aujourd'hui par un et cætera aux développements nécessaires aux conventions des parties, il n'encourrait pas seulement une amende, mais il pourrait même être condamné à des dommages-intérêts, si, par exemple, dans un contrat de mariage il s'était borné à mettre : La future épouse aura un préciput, etc. — (Louis Rutgeerts, Manuel de droit notarial et de droit fiscal, volume 1, A. Labroue, Bruxelles, 1853)
    • De là, poussant jusqu’à Sardy, tu verras en sa tour à pigeons maître Guillaume Courtignon, le procureur, tu lui diras que sa maison à Clamecy sera sans faute, cette nuit, brûlée, pillée et cætera, s’il ne revient. — (Romain Rolland, Colas Breugnon, 1919)
    • On dit d’une ville qu’elle est accueillante, animée, qu’on y mange bien, avec un et cætera de trois lignes ; d’une province, plus simplement : les Normands sont hauts en couleur, rusés, grands buveurs de cidre ; d’une nation : les Gaulois avaient les cheveux blonds. — (Marcel Aymé, La jument verte, Gallimard, 1933, réédition Le Livre de Poche, page 232)
    • Il s’agit des rêveries amoureuses de Roméo qui, assis sous un néflier, se représente probablement la nudité de sa maîtresse ou, pour parler comme le texte, son « et c­ætera ». « Et cætera » est délicieusement hypocrite : c’est une fausse concession à la pudeur, car il est plus suggestif que le mot cru et franc qu’il ne fait que recouvrir d’une gaze transparente. — (Julien Green, Moïra, 1950, réédition Le Livre de Poche, page 90)

Variantes orthographiques

Traductions

→ voir et cetera

Références