Singulier | Pluriel |
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franche-maçonne | franches-maçonnes |
\fʁɑ̃ʃ.ma.sɔn\ |
franche-maçonne \fʁɑ̃ʃ.ma.sɔn\ féminin (pour un homme, on dit : franc-maçon)
Lors de l’introduction de ces dénominations, l’adjectif franc variait selon le genre et le nombre du mot qu’il précédait ; on écrivait les Francs-Maçons, on disait une Franche-Maçonne.— (Jean-Marie Ragon, Cours philosophique et interprétatif des initiations anciennes et moderne, A. Berlandier, 1841, page 78)
Singulier | Pluriel | |
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Masculin | franc-maçon \fʁɑ̃.ma.sɔ̃\
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francs-maçons \fʁɑ̃.ma.sɔ̃\ |
Féminin | franche-maçonne \fʁɑ̃ʃ.ma.sɔn\ |
franches-maçonnes \fʁɑ̃ʃ.ma.sɔn\ |
franche-maçonne \fʁɑ̃.ma.sɔn\
l’austère Panche, le 6 octobre 1789, s’écria que les grandes citoyennes Théroigne, Reine Audu et Olympe de Gouges représentaient bien le type de la femme franche-maçonne, et que si le roi voulait sincèrement régénérer la sensibilité publique, il devrait nommer ces trois héroïnes directrices de la maison de Saint-Cyr pour faire des jeunes filles qui y sont élevées de dignes épouses républicaines— (Olivier Blanc, Marie-Olympe de Gouges. Une humaniste à la fin du xviiie siècle, R. Viénet, 2003, page 61)