gazouillard

Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot gazouillard. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot gazouillard, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire gazouillard au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot gazouillard est ici. La définition du mot gazouillard vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition degazouillard, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.

Étymologie

Du radical du verbe gazouiller, avec le suffixe -ard.

Adjectif

Singulier Pluriel
Masculin gazouillard
\ɡa.zu.jaʁ\

gazouillards
\ɡa.zu.jaʁ\
Féminin gazouillarde
\ɡa.zu.jaʁd\
gazouillardes
\ɡa.zu.jaʁd\

gazouillard \ɡa.zu.jaʁ\

  1. Qui gazouille ; qui fait entendre un bruit comparable à un gazouillis.
    • Maintenant, pour finir, je veux vous parler des modes d'enfants. Cela sera agréable aux jeunes mères, et puis il faut bien s'occuper un peu de l'embellissement de ces petits anges, la joie de la famille, charmants oiseaux gazouillards, que leur innocence met à l'abri des passions mauvaises. — (Juliette Lormeau, Gravures, dans le Journal des coiffeurs du 1er août 1859 , Paris, 1859, page 4.)
    • Je l'écris à l'ombre d'un caroubier dont les fleurs, en forme de grappe, laissent tomber sur mon papier le pollen de leurs étamines, et dont les verts rameaux sont à chaque instant traversés par des bandes d'oiseaux gazouillards. — (Charles Desprez, L'hiver à Alger ; A. Carro imprimeur, Meaux, 1861, page 25.)
    • Étant, ainsi que la plupart des méridionaux cultivés, un assez bon virtuose de lecture, il en profitait pour lui apprendre cet art difficile, si profondément méprisé par les gazouillards de la Comédie-Française et les liquidateurs de diphtongues du Conservatoire, lui révélant de la sorte les plus hautes créations littéraires, en même temps qu'il lui donnait le secret d'en exprimer la substance. Le sublime et la manière de s'en servir !, disait-il. — (Léon Bloy, La femme pauvre, Ire partie : L'épave des ténèbres, chapitre XXII ; Les éditions G. Crès et Cie, Paris, 1924, page 147.)