Singulier | Pluriel | |
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Masculin | gramscien \ɡʁam.sjɛ̃\ ou \ɡʁam.ʃjɛ̃\ |
gramsciens \ɡʁam.sjɛ̃\ ou \ɡʁam.ʃjɛ̃\ |
Féminin | gramscienne \ɡʁam.sjɛn\ ou \ɡʁam.ʃjɛn\ |
gramsciennes \ɡʁam.sjɛn\ ou \ɡʁam.ʃjɛn\ |
gramscien \ɡʁam.sjɛ̃\ ou \ɡʁam.ʃjɛ̃\[1]
On peut montrer cependant que cette supposition est indéfendable, car l’appropriation et les tentatives d’intégration d’éléments de la pensée de Foucault dans une problématique gramscienne ont, certes, réaffirmé l’importance et l’actualité de cette dernière, mais ont surtout bien mis en évidence la nécessité de reconceptualiser un ensemble de questions analytiques qui sont au centre même de la pensée de Gramsci, notamment la question de l’hégémonie.— (David Couzens Hoy, Michel Foucault : lectures critiques, 1989)
Éric Zemmour nourrit lui-même ce manichéisme mortifère. Reprenant à son compte le concept gramscien d’« hégémonie culturelle », il est conscient que la révolution réactionnaire qu’il appelle de ses vœux ne pourra se réaliser que lorsque les idées qui sont à son fondement auront suffisamment infusé dans la société française.— (Manuel Valls, Zemmour, l’antirépublicain, Éditions de l’Observatoire, Paris, 2022, ISBN 979-10-329-2527-0, p. 21)
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