Singulier | Pluriel |
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hobereauterie | hobereauteries |
(h aspiré)\ɔ.bə.ʁo.tʁi\ ou (h aspiré)\ɔ.b.ʁo.tʁi\ |
hobereauterie (h aspiré)\ɔ.bə.ʁo.tʁi\ ou (h aspiré)\ɔ.b.ʁo.tʁi\ féminin
Mais tout cela parvient à présent à son terme échu, avec l’émergence d’une nouvelle nation dont tous les repères, toutes les lignes de force ont bougé, parfois pour le meilleur, parfois non : il n’y aura plus jamais de Prusse ; Berlin, riche de ses subventions et pacifiste depuis sa seconde naissance, le Brandebourg et l’Altmark de Magdebourg, vieilles terres de hobereauterie lessivées par le socialisme réellement existant, sont à présent ancrés dans une gauche prudente et timide.— (Alexandre Adler, La nouvelle Allemagne, ou le malentendu social-démocrate, Le Monde, no 16824 du 27 février 1999, page 15)
La hobereauterie se trouve donc assez bien servie en ce qui concerne l’exercice privé : on reconnaît là la patte des gentilshommes huguenots, assidus aux assemblées où s’est discuté l’édit.— (Janine Garrisson, L’Édit de Nantes et sa révocation, Histoire, Points, Éditions du Seuil, 1985, ISBN 2-02-009556-4, page 20)