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Elément jadis fait de bois, aujourd'hui en béton ou terre cuite (voire en polystyrène expansé) servant à garnir l’entrevous, espace entre poutrelles ou poutres pour la réalisation de planchers, et sur lequel, en construction contemporaine, une chape est coulée.
La surface inférieure du hourdis est nécessairement irrégulière. Aussi, plus tard, quand il s'agit de procéder au plafonnage, la première opération consiste-t-elle à couper les baliveaux correspondant aux joints des planches sur lesquelles a été coulé le hourdis et à dresser la surface.— (« Marché de Nangis (Seine-et-Marne) » par M. Cottin, architecte, & M. Nicaise, constructeur, dans les Nouvelles annales de la construction, 3e série - tome 7, février 1882, en recueil vol. 28, Paris : chez Baudry, 1882, page 25)
Les autres , au contraire, et surtout les plus jeunes, superbes, forts, plus forts qu’il n’est besoin, parés avec des revêtements de décorations polychromes qui n’avaient rien du misérable hourdis de mortier ou d’argile des grands frères usés avant l’âge, semblaient, avec leurs fermes en fer et leurs façades roses ou blanches en briques vernies, défier les fatigues du travail et des années.— (Hector Malot, En famille, 1893)
, lorsque le hourdis est en place, il effleure ou dépasse légèrement l'aile inférieure des fers dont l'épaisseur se trouve ainsi encastrée, ce qui permet alors d'effectuer le plafonnage avec la quantité minimum de plâtre.— (« Hourdis J. Bulloz 400433 », dans la revue La Céramique, volume 13, 1910, page 46)