Singulier | Pluriel |
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internationalisation | internationalisations |
\ɛ̃.tɛʁ.na.sjɔ.na.li.za.sjɔ̃\ |
internationalisation \ɛ̃.tɛʁ.na.sjɔ.na.li.za.sjɔ̃\ féminin
À la lueur de ce que nous venons d’avancer, nous pourrions plutôt dire qu’il est le premier peintre florentin « déflorentinisé », son élève Sebastiano Galeotti accentuant ce processus d’internationalisation des manières.— (Musée de Grenoble, Éric Pagliano, Catherine Monbeig-Goguel, Philippe Costamagna, De chair et d’esprit, 2010, page 200)
Peu d’entreprises sont capables de réussir l’internationalisation de manière autonome.— (Philippe de Woot, Les entreprises de haute technologie et l’Europe, Economica, 1988, page 161)
Plus largement, comme le souligne François Grin, professeur à l’université de Genève, l’ internationalisation est très régulièrement confondue avec anglicisation dans les pays traditionnellement non anglophones. Les représentations qui conduisent à cette mise en avant de la langue anglaise sont multiples : faciliter les échanges et les coopérations, rendre plus attractifs les établissements, attirer plus d’étudiants et contribuer à la circulation de connaissances scientifiques. Toutefois, ces effets potentiellement positifs à court terme sont susceptibles de provoquer des contreparties négatives à plus long terme qui font débat.— (Grégory Miras, Nicolas Molle, Faut-il forcément faire cours en anglais pour internationaliser les formations ?, The Conversation, 25 septembre 2024, 17:24 CEST)
C’est l’internationalisation de MS Windows et MS Word qui a permis cette réduction importante du nombre de versions et la possibilité pour Microsoft de publier en même temps des versions très différentes de ces produits— (Patrick Andries, Unicode 5.0 en pratique, Dunod, 2008, page 284)
internationalisation \ˌɪn.təˌnæʃ.ə.nə.lɪ.ˈzeɪ.ʃən\ ou \ˌɪn.təˌnæʃ.ə.nə.laɪˈzeɪ.ʃən\ (Royaume-Uni), \ˌɪn.tɚˌnæʃ.ə.nə.lə.ˈzeɪ.ʃən\ (États-Unis)