Singulier | Pluriel |
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inviteur | inviteurs |
\ɛ̃.vi.tœʁ\ |
inviteur \ɛ̃.vi.tœʁ\ masculin (pour une femme, on dit : inviteuse)
Un naïf s'y laisse prendre , et tombe chez lui sur le coup de six heures : grimace de l'inviteur.— (L'Opinion nationale, 17 juin 1876)
Les enfants de mon parrain et ceux de mon frère vinrent à tour de rôle nous inviter à leurs noces. On était généralement prévenu de leur arrivée et on faisait quelques préparatifs pour les recevoir : l’usage veut que l’on fasse faire bombance aux inviteurs.— (Émile Guillaumin, La vie d’un simple, 1904, page 169)
Singulier | Pluriel | |
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Masculin | inviteur \ɛ̃.vi.tœʁ\
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inviteurs \ɛ̃.vi.tœʁ\ |
Féminin | inviteuse \ɛ̃.vi.tøz\ |
inviteuses \ɛ̃.vi.tøz\ |
inviteur \ɛ̃.vi.tœʁ\ masculin
Elle était bien certaine que, soit le geste inviteur, soit la présence du vieux monsieur, était une hallucination, car on ne lui aurait pas ainsi désigné un fauteuil déjà occupé.— (Marcel Proust, Sodome et Gomorrhe (À la recherche du temps perdu), Gallimard, 1924, deuxième partie, chapitre 1, page 52)
Dans ce tiroir, luisait, inviteuse, la lame d’un large couteau à découper. Alors, l’homme se saisit du couteau et l’enfonça, non sans quelque frénésie, entre les deux omoplates du concierge.— (Alphonse Allais, Rose et Vert Pomme, Paul Ollendorff, 1894)