irréclamable

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Étymologie

(1845)[1] Dérivé de réclamer, avec le préfixe ir- et le suffixe -able.

Adjectif

Singulier Pluriel
Masculin
et féminin
irréclamable irréclamables
\i.ʁe.kla.mabl\

irréclamable \i.ʁe.kla.mabl\

  1. (Rare) Que l’on ne peut pas réclamer.
    • L’enfant qui a risqué au jeu des objets ou l’argent appartenant à ses parents est coupable : il subira un mois de prison. L’enjeu ou la valeur de l’enjeu est irréclamable ; s’il a été versé, il doit être rendu sous peine d’un an de fers. — (Jean Carol, Les Hova (Au pays rouge), 2ème édition, Paul Ollendorff, Paris, 1898, page 315)
    • La loi 54 déclare irréclamables par la concubine tous biens qu’elle a reçus de son complice, même si elle lui en a payé le prix. — (Jean Carol, Les incertitudes du colonialisme: Jean Carol à Madagascar, L’Harmattan, Paris, 1990, page 126)
    • Boutqulhatin (menaçant): Ensuite, je m’occuperai de ce bled-là qui ne cesse de réclamer l’irréclamable. — (Messaoudi Djaafar, Interview imaginaire du Président Boutqulhatin II , dans la revue ayamun, no 29, ayamun.com, mai 2007)

Antonymes

Traductions

Prononciation

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Références

  1. Figure dans la seconde édition de Enrichissement de la langue française : dictionnaire de mots nouveaux de Jean-Baptiste Richard de Radonvilliers, Paris, 1845, page 392.