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Étymologie
- Du moyen breton queffelec[1], dérivé du vieux breton cefel « cheval », d’où le moderne kefel[2], en raison de son cri qui ressemble à l’ébrouement du cheval[3].
- À comparer avec les mots cyffylog en gallois, kevelek en cornique (sens identique).
Nom commun
kefeleg \keˈfeːlek\ masculin (pour une femelle, on dit : kefelegez)
- (Ornithologie) Bécasse.
D’an Nedeleg ec’h astenn an deiz paz ur c’hefeleg, d’an deiz kenta’r bloaz paz ur waz da ouel ar Rouaned paz ul leue.
— (Jules Gros, Le Trésor du Breton parlé - Troisième partie - Le style populaire, 1974, page 324)
- À Noël le jour allonge d’un pas de bécasse, au Jour de l’An d’un pas d'oie, à la fête des Rois d’un pas de veau.
En ur zegouezhout e Traoñ-an-Dour, e spurmantis ur c’haer a gefeleg o pigosat gant e veg hir douar gleb riblenn ar stêr.
— (Ernest ar Barzhig, Ar Seblant, in Al Liamm, no 166-167, septembre-décembre 1974, page 365)
- En arrivant à Traoñ-an-Dour, j’aperçus une belle bécasse qui picorait avec son bec allongé la terre humide du bord de la rivière.
Dérivés
Références
- ↑ Jehan Lagadeuc, Catholicon, Tréguier, 1499
- ↑ Albert Deshayes, Dictionnaire étymologique du breton, Douarnenez, Le Chasse-Marée, 2003, page 378
- ↑ R. J. Thomas, G. A. Bevan, P. J. Donovan, A. Hawke et al. (dir.), art. « cyffylog », dans Geiriadur Prifysgol Cymru, University of Wales Centre for Advanced Welsh & Celtic Studies, 1957, page 734