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Étymologie
- (1732)[1] Du français consul, issu du latin consul.
Nom commun
koñsul \ˈkɔ̃sːyl\ masculin (pour une femme, on dit : koñsulez)
- Consul.
; e burev Koñsul Rusia a dlee sinañ ha timbchañ va holl baperennoù, .
— (Jarl Priel, Va Buhez e Rusia, Al Liamm, 1955, page 27)
- ; au bureau du Consul de Russie qui devait signer et timbrer tous mes papiers, .
Abegoù mat en doa Napoleon Bonaparte, koñsul kentañ, pa reas e soñj, e miz Gwengolo 1802, da cheñch kêr vihan Pondi (3300 annezad d’ar c’houlz-se) en ur gêr vodern a lakaas diwezhatoc’h edan e anv.
— (Pondi - Napoléonville : Troiad displegiñ glad Napoleon/Pontivy - Napoléonville : Guide d’interprétation du patrimoine napoléonien)
- En septembre 1802, ce sont des raisons précises qui incitèrent Napoléon Bonaparte, Premier Consul, à transformer la petite cité de Pontivy (3300 habitants) en une ville moderne qui portera son nom.
Dérivés
Références
- Martial Ménard, Dictionnaire français-breton, Éditions Palantines, 2012, ISBN 978-2-35678069-0, page 302a
- Martial Ménard, Devri : Le dictionnaire diachronique du breton, 2018 → consulter cet ouvrage
- « konsul, ed » dans François Vallée, Grand dictionnaire français-breton, Édition de l'Impression commerciale de Bretagne, Rennes, 1931-1933, 817 pages, page 148a
- ↑ Albert Deshayes, Dictionnaire étymologique du breton, Le Chasse-Marée, Douarnenez, 2003, page 412b