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(Ornithologie) Espèce de passereau originaire du sud de l’Australie, qui se nourrit de nectar grâce à sa longue langue, mais aussi de fruits et d’insectes.
Ces reproducteurs un peu particuliers choisissent de préférence les nids des frugivores tels que les méliphages barbe-rouge ou les différentes sortes de polochions, mais ils ne dédaignent pas pour autant ceux des grallines pies et des sphécothères mangeurs de figues.— (Solène Le Dantec, Coucou du Pacifique , solene.ledantec.free.fr)
Le méliphage barbe-rouge mène deux voire trois nichées par an. Il couve d’ailleurs n’importe quand dans l’année. Et la période de reproduction pourrait s’étaler sur quasiment 11 mois.— (Le méliphage barbe-rouge : une reproduction à l’année, lesoiseauxdufaucigny.centerblog.net, 7 février 2017)
Notes
En biologie, le genre, premier mot du nom binominal et les autres noms scientifiques (en latin) prennent toujours une majuscule. Par exemple, pour l’être humain moderne : Homo sapiens, famille : Hominidae. Quand ils utilisent des noms en français, ainsi que dans d’autres langues, les naturalistes mettent fréquemment une majuscule aux noms de taxons supérieurs à l’espèce (par exemple : les Hominidés, ou les hominidés). Un nom vernaculaire ne prend pas de majuscule, mais on peut en mettre une quand on veut signifier que l’on parle non pas d’individus, mais de l’espèce (au sens du couple genre-espèce), du genre seul, de la famille, de l’ordre, etc.