Singulier | Pluriel |
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manicongo | manicongos |
\ma.ni.kɔ̃.ɡo\ |
manicongo \ma.ni.kɔ̃.ɡo\ masculin
Or, en 1491, le manicongo, ou roi du Congo, se fit baptiser et prit le nom de João 1er sous la pression du Portugal qui cherchait à prendre position sur les côtes africaines et commençait le commerce des esclaves. Le manicongo renonça quelques années plus tard au christianisme mais, après sa mort, une guerre civile se déclencha entre les partisans de la colonisation portugaise et ceux qui s’y opposaient. La pièce de théâtre jouée lors des fêtes du rosaire semble reprendre des éléments de cette histoire en présentant la dévotion catholique comme forcément victorieuse.— (Les dominicains de Toulouse au Brésil)
1507 : début du règne de Alphonso Ier, manicongo des peuples Kongo (fin en 1543). À la mort de son père le manicongo Nzinga Nkouvou, Nzinga Mbemba monte sur le trône après avoir vaincu et tué son frère Mpanzou qui était retourné à l’animisme. Fervent chrétien, il prend comme nom de baptême Alphonso Ier et calque l'étiquette de sa cour de celle de Lisbonne.— (1507 sur l’encyclopédie Wikipédia )
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Singulier | Pluriel |
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manicongo | manicongos |
manicongo \Prononciation ?\ masculin