Singulier | Pluriel | |
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Masculin et féminin |
marianiste | marianistes |
\ma.ʁja.nist\ |
marianiste \ma.ʁja.nist\ masculin et féminin identiques
Les pères marianistes, dont la congrégation date du début du XIXe siècle, exercent leur mission dans l'esprit du temps, qui est celui de la connaissance scientifique et d'un optimisme positiviste dont il faut contrer les tentations athéistes par le dialogue et par une foi compréhensive et tolérante.— (Virgil Tanase, Saint-Exupéry, Gallimard, « folio - biographies », 2013, page 26)
À la fin de la République romaine, lors des guerres civiles qui l’ont marquée, certains parcours politiques sont globalement linéaires et témoignent d'une stratégie univoque, d'autres sont plus sinueux : par exemple Pompée, d’origine équestre, fut d'abord un fidèle partisan de Sylla, et réprima dans le sang, à la tête d'armées privées, les armées marianistes (soit les “populares” partisans de Marius) à travers l'Italie, l'Espagne et l'Afrique ; mais par la suite il abrogea une partie des réformes de son mentor de jadis pour gagner en popularité au cours de son consulat de 70 av. J.-C.
Caius Marius dit « le Jeune » (109 av. J.-C. – 82 av. J.-C.), fils adoptif du consul Caius Marius, devint après la mort de son père un des chefs marianistes. Il partagea le consulat avec Carbon. Il fut battu par Sylla à la bataille de Préneste, ancien nom de Palestrina, à l’est de Rome, en 82 av. J.-C..— (Claude Merle, Histoire de guerre. Consulté le 20/11/2024)
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Masculin et féminin |
marianiste | marianistes |
\ma.ʁja.nist\ |
marianiste \ma.ʁja.nist\ masculin et féminin identiques
En –88 Marius se fait attribuer par le peuple le commandement de la guerre d'Asie qui avait été confiée à Sylla ; celui-ci entre dans Rome avec son armée et massacre tous les marianistes qu'il trouve. Marius parvient à s'enfuir à travers l'Italie et les provinces.— (Xavier Lapray, Vie de Marius (repères chronologiques), in Encyclpædia Universalis. Consulté le 20/11/2024)
Lors de la fin de la République romaine, la première guerre civile opposa les marianistes (du côté des populares) aux syllaniens (du côté des optimates).
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