marque à la boîte bleue \maʁ.k‿a la bwat blø\ féminin invariable
Parce qu’au fond, on a tou(te)s en nous quelque chose de la marque à la boîte bleue. N’est-ce pas symptomatique que la plupart d’entre nous, sans réfléchir, pensent qu’elle est « made in France » ? Ce n’est d’ailleurs pas un mal français, puisque les Espagnols, les Néerlandais et les Africains du Nord ont la même tendance à s’approprier ce fleuron de la cosmétique allemande dont la crème emblématique fait figure de madeleine de Proust dans de nombreux pays.— (Hélène Guillaume, « Nivea met du baume au coeur », dans Le Figaro, no 20660, 2011-01-05, page 29)
L’industriel entend bien impliquer les Français et donne de la visibilité à l’action comme à l’association au travers d’un film diffusé sur Internet. Les consommateurs de la marque à la boîte bleue iconique sont invités à agir au travers de « produits partage ».— (Clotilde Briard, « Mécénat : Nivea aide à garder le contact », dans Les Échos, 2021-11-26 . Consulté le 2022-01-11)
La marque à la boîte bleue est certes la reine du solitaire et du premier bijou en argent mais elle a, par ailleurs, toujours distribué et fabriqué des montres.— (Elodie Baërd, « Tiffany & Co. : le quart d'heure américain », dans Le Figaro, 2015-09-28 . Consulté le 2022-01-11)
L’épopée de la marque à la boîte bleue a commencé en 1837 lorsque Charles Lewis Tiffany ouvre un magasin d’articles de fantaisie sur Broadway à Manhattan, où l’on peut trouver papeterie, mouchoirs et boîtes à gants.— (« Le joailler Tiffany, une icône de l'Amérique », dans Agence France-Presse, 2019-11-25)