Singulier | Pluriel | |
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Masculin et féminin |
monogerme | monogermes |
\mɔ.no.ʒɛʁm\ |
monogerme \mɔ.no.ʒɛʁm\ masculin et féminin identiques
Sa réussite dépend bien plus que pour la semence polygerme du principe suivant : « Pour bien réussir le semis de la semence monogerme, il faut tout prévoir et ne rien laisser au hasard. »— (27e Congrès d'hiver : Compte Rendu (Winter Congress: Report), International Institute for Sugar Beet Research, 1964, p.201)
Il en résulte que les maisons de sélection ont entrepris des recherches en vue d'obtenir des variétés à glomérules monogermes, contrairement aux betteraves à graines plurigermes, actuellement utilisées.— (26e Congrès d'hiver : Compte Rendu (Winter Congress: Report), International Institute for Sugar Beet Research, 1963, p.15)
Mais dans les milieux grainiers de la betterave sucrière, on s'énerve à qui mieux mieux en vue de produire la graine monogerme génétique. Celle-ci existe aux États-Unis et en U.R.S.S.— (Journal de la Société centrale d'agriculture de Belgique, 1965, vol.112, page 7)
Pour cela il existe deux possibilités : le façonnage des graines plurigermes en graines monogermes mécaniques ou semences de précision et d'autre part les semences monogermes génétiques.— (L'Élevage, 1974, no 31-35, page 39)
La question de la main-d'œuvre les préoccupant en premiers lieu, ils cherchent à créer une betterave monogerme. Dès que celle-ci aura été fixée héréditairement, on aura ainsi éliminé le facteur principal : le démariage des plants.— (Le Progrès agricole et viticole, 1920, vol.74, page 87)
Il y a aussi l'inconvénient du "démariage", une betterave monogerme serait infiniment précieuse.— (Roger de Vilmorin & Auguste Meunissier, La sélection chez la betterave à sucre, dans Congres International de Sélectionneurs de Plantes (Pays-Bas, 22-27 juin 1936), Leiden : E.-J. Brill, 1936, p.75)
Quant à la betterave monogerme, elle aurait pu devenir une solution, tant ses aptitudes fourragères sont certaines (probablement, produit-elle ici, en bonne année, plus de 12.000 UF/ha) et la profondeur de son enracinement lui permet de résister fort bien aux années de sécheresse, .— (Jean Boichard, L'élevage bovin, ses structures et ses produits en Franche-Comté, Presses Univ. Franche-Comté, 1977, page 77)