Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot nardinamouk. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot nardinamouk, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire nardinamouk au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot nardinamouk est ici. La définition du mot nardinamouk vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition denardinamouk, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.
De l’arabe يلعن دين أمك, 'īlʿan dīn 'ummek (« maudite soit la religion de ta mère ! »)[1] Ce qui fut aux origines une phrase exclamative est devenu par contraction une simple interjection, et quelquefois une locution interjective, prononcée de manière quelque peu différente en arabe maghrébin : « lān dīn 'umuk » ou « nāl dīn muk ». La forme et l’orthographe sont diverses et souvent fantaisistes. Ainsi lit-on, dans ce qui semble être la première apparition de ce mot sous la plume d'un écrivain français, en 1908: "maaldinoummek"[2], et près d’un siècle plus tard, tantôt "nââ dine al mouk"[3], tantôt "naal din oumek!"[4], ou encore "I naal dine Ima Imatkoum !"[5], forme datant de 1973.
Nardinamouk… J’ai envie de rire mais je sais qu’il n’apprécierait pas. Il arrive ventre à terre. On enfile avec soulagement le couloir des armureries au moment où une lumière s’allume près du secrétariat… Ouf !" — (Jean Gravier, L’Autre femme : D’une onde à l’autre, Société des écrivains, 2013, page 192)
Mais rien n’y faisait, nardinamouk ! Le Lycon poursuivait son évangélisation au nez et à la barbe de cette escouade de barbus velus à sourcils méphistophéliques qui rivalisaient de cruauté…— (Albert Champeau, L’Autre femme : D’une onde à l’autre, Société des écrivains, 2013, page 192)
Ouh, nardinamouk nom de Dieu, j’ai un de ces maux de bucéphale, comme dirait Alexandre. Ce fut ma première pensée. Et une de ces envies de dormir. Ça, c’était la seconde, et la troisième, une abominable pépie.. — (Alain Raffaëlli, L’Arpenteur du grand ouest, Mon Petit Editeur, 2010, page 385)