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(Nom commun 1) (Siècle à préciser) De odal, du nom du runeōthalan (signifiant « propriété, domaine ») de la mythologie germanique, avec le suffixe -isme
(Histoire)(Rare) droit de l’odal, de la propriété, dans la société nordique ancienne.
En même temps que leur écrits éclairaient tous les esprits, les accents lamentables des familles victimes de cette funeste législation pénétraient tous les cœurs. Les gens instruits, les amis de l’ordre et e l’humanité, les plus respectables magistrats, redemandaient à grands cris le jugement des pairs, remplacé durant le régime féodal par le combat judiciaire et l’odalisme, ensuite par la procédure écrite et la torture.— (Claude Sébastien Bourguignon-Dumolard, Mémoire sur le jury, 1808, p. 4)
S’il se défend en 2005 d’être spécifiquement « nazi » (critiquant la dimension « socialiste » de l’idéologie d’Adolf Hitler), il explique à de nombreuses reprises les principes de l’odalisme (un courant néopaïen germanique), et s’intéresse beaucoup à la religion odiniste Asatru, des mouvances largement considérées comme néonazies.— (Michaël Szadkowski, « Varg Vikernes : meurtre, black metal et néopaganisme », Le Monde.fr, 16 juillet 2013)
Le plus souvent c’est l’épouse légitime qui va visiter l’odalisque proposée, et conclure un marché qui, chose étonnante, flattera son amour-propre par l’idée d’avoir à son service une esclave si distinguée, bien plutôt que d’alarmer sa jalousie par le danger de se donner une rivale inévitable. Tel est le pouvoir de l’odalisme, dont l’influence est plus puissante que celle du marriage qui en est affaiblie.— (Richard et Quétin, Guide en Orient, 1851, p. 497)
Arrivées dans la capitale, ces jeunes postulantes à l’odalisme ne paraissent point au bazar, mais elles sont confiées à des femmes turques qui achèvent leur éducation, qui leur apprennent la langue du pays, qui leur enseignent à danser, à faire de la musique, à coudre et à broder, à confectionner des sucreries et des pastilles de senteur, à se présenter avec cette grâce et à porter le costume avec cette élégance nonchalante qui sont l’attrait suprême de la femme d’Orient.— (René Spitaels, De Bruxelles à Constantinople, par une Touriste Flamand, tome 3, 1840, page 273)
