Singulier | Pluriel |
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opéra de demi-caractère | opéras de demi-caractère |
\ɔ.pe.ʁa də də.mi.ka.ʁak.tɛʁ\ |
opéra de demi-caractère \ɔ.pe.ʁa də də.mi.ka.ʁak.tɛʁ\ masculin
Pierre Monsigny (1729-1817) débute la même année avec Les Aveux indiscrets. Ses œuvres, plus sentimentales, font évoluer l’opéra-comique vers l’opéra de demi-caractère comme son œuvre la plus célèbre, Le Déserteur (1769).— (Laurent Marty, L’art lyrique en France des origines à la Querelle des Bouffons, resmusica.com, 15 mai 2003)
En effet, si la création a lieu en 1859 au théâtre lyrique, l’opéra (à mi-chemin entre l’opéra-comique et le grand opéra, est qualifié d’« opéra de demi-caractère ») atterrit, en 1869, sur les planches de ce qui est alors nommé l’Académie Impériale de musique.— (Paul Fourier, Oyez bonnes gens ! Pene Pati est Faust à l’Opéra de Paris !, cult.news, 27 septembre 2024)
Entre 1848 et 1857, Émile Perrin a fait de l’Opéra Comique une scène prospère et brillante, réputée pour le faste de ses mises en scène et capable d’affronter la double concurrence des Bouffes-Parisiens et du Théâtre-Lyrique, ouvert à l’automne 1851 pour représenter l’opéra de demi-caractère.— (Offenbach et l’Opéra-Comique, opera-comique.com/fr, consulté le 4 janvier 2025)
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