ophthalmie

ophthalmie \ɔf.tal.mi\ féminin

1. (Désuet) Variante de ophtalmie avant la réforme orthographique de 1878.
   • Il est à observer que toutes les autres causes productrices de la myiodésopsie appellent, aussi bien que l’ophthalmie, des congestions sanguines vers la tête et l’œil, et peuvent par conséquent, tout comme l’inflammation, déterminer l’entrée du sang dans les vaisseaux capsulaires affaissés ou rétrécis. — (« Revue bibliographique : The vision of objects on and in the Eye (De la vue des objets placés sur et dans l’œil) », par Guill. Mackenzie, dans les Annales d’oculistique, tome 14 (3^e série/tome 2), Bruxelles : chez l’éditeur & Paris : chez Germer Baillière, 2^e semestre 1845, p. 84)
   • De semblables monstruosités sont rares en égypte où la race est généralement belle et solide ; les ophthalmies seules enlaidissent les populations qu’elles rendent fréquemment aveugles ou borgnes. — (Maxime Du Camp, Le Nil: Égypte et Nubie, 1854)
   • Il se déclara une violente ophthalmie catarrhale chez un grand nombre de soldats. . Réveillé-Parise nous apprend que pareille ophthalmie sévit à Paris en 1803, puis en 1806; on l’appelait la cocotte. — (Salvador Fano, Traité pratique des Maladies des Yeux, Paris : Adrien Delahaye, 1866, vol.1, p.528)
   • Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)

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• « ophthalmie », dans Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, 1872–1877 → consulter cet ouvrage