ortif

(XVI^e siècle) Du latin ortivus (« qui se lève »)^[1].

ortif \ɔʁ.tif\

1. (Astronomie) Levant, relatif à l’orient.
   • Amplitude ortive, arc de l’horizon qui est entre le point où se lève un astre et l’orient vrai où se fait l’intersection de l’horizon et de l’équateur.
   • Le plus grand azimuth est de 90°, lorsque le soleil passe au zénith : il diminue, à mesure que la hauteur méridienne diminue : enfin , il est égal à l'azimuth ortif ou occase, lorsque la latitude est zéro. — (Voyage de Dentrecasteaux, envoyé à la recherche de La Pérouse, 1806)

• La prononciation \ɔʁ.tif\ rime avec les mots qui finissent en \if\.
• France (Vosges) : écouter « ortif  »

• Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition, 1932-1935 (ortive)

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ortif \Prononciation ?\

1. Qui est cultivé comme un jardin.

• Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IX^e au XV^e siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage