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Car il y a plus de différence entre telle et telle tribu peau-rouge, qu’entre un Arabe et un Norvégien, un Anglais et un Turc !— (René Thévenin et Paul Coze, Mœurs et Histoire des Indiens Peaux-Rouges, Payot, 1929, 2e édition, page 14)
Des Blancs invoquent ainsi une ascendance africaine pour obtenir des bourses d’études dans les universités ou postuler à des emplois réservés aux Noirs. D’autres font état d’ancêtres cherokee ou hopi pour essayer de toucher une partie des bénéfices des casinos installés sur les réserves indiennes, dont les revenus sont partagés entre les membres de la tribu - qui doivent justifier d’au moins un grand-parent ou un arrière-grand-parent peau-rouge.— (L’Express, 15 juin 2006)
Notes
homme rouge est utilisé dans certains échanges entre colons français et amérindiens. Une lettre écrite en août 1743 par les Chicachas porte un message destiné à Vaudreuil, Gouverneur de la Louisiane :
Grand chef de tous les françois et des hommes rouges, Ecoute notre parole ; Nous avons apprit ton arrivée, et que tous les hommes rouges du Nord etoient tes enfants, que depuis long temps tu en es le Chef, que tu as gardé toujours la paix parmy eux"[1]
Peau-rouge n’a jamais vraiment été utilisé en Amérique française, où les termes employés ont plutôt été indien et sauvage, et plus tard amérindien et autochtone ("natives" en anglais).
Il s’agissait d’un authentique drame du « milieu » ou, plutôt, , d’une histoire de « peaux rouges », de « truands ».— (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)