Singulier | Pluriel |
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pente d’eau | pentes d’eau |
\pɑ̃.tə d‿o\ |
pente d’eau \pɑ̃.tə d‿o\ masculin
En 1983, le ministère des Transports de l’époque décide de mettre en place, parallèlement aux écluses, un tout nouveau système pour faire passer les gros bateaux : la pente d’eau.— (Jean-Pierre Pernaut, Pascal Bataille, Laurent Fontaine, L’Argent par les fenêtres, TF1 éditions, 1997)
Longue de quatre cent quarante-trois mètres, la pente d’eau de Montech fait franchir aux bateaux une dénivellation de treize mètres trente. Outre le « court-circuitage » de cinq écluses, la technique de la pente d’eau offre l’avantage de n’exiger aucune dépense de liquide, à la différence de l’éclusage ordinaire qui coûte chaque fois sa pleine éclusée.— (Arnaud d’Antin de Vaillac, Connaissance du Canal du Midi, France Empire, Paris, 1997)
A Montech, sur le canal de Garonne, la pente d’eau de Montech était un ascenseur à bateaux. Elle permettait de remplacer un groupe de 5 écluses successives et ainsi de gagner un temps précieux de navigation. Depuis 2009, la pente d’eau de Montech ne fonctionne plus.— (La pente d’eau de Montech, ouvrage exceptionnel au temps des péniches, tourisme-tarnetgaronne.fr, consulté le 4 octobre 2023)
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