perruquière

(Date à préciser) Dérivé de perruque, avec le suffixe -ière.

perruquière \pɛ.ʁy.kjɛʁ\ féminin (pour un homme, on dit : perruquier)

1. (Habillement) Celle qui fabrique et entretient des perruques.
   • A l’occasion de cette réflexion, nous ne croyons pas trop déplaire au lecteur en lui donnant ici la liste des principales professions nommées par Restif et figurées par Binet, dans les Contemporaines du commun et dans les Contemporaines par gradation. Plusieurs de ces professions n’existent plus aujourd’hui. Perruquières — (Jules Assézat dans Nicolas Edme Restif de La Bretonne, Les Contemporaines, tome 2, Alphonse Lemerre, Paris, 1876, page 272-275)
2. (Désuet) Épouse d’un perruquier.
   • De même, en parlant de la femme d’un afficheur, d’un couvreur, d’un paveur, d’un tourneur, etc., on dit, l’afficheuse, la couvreuse, la paveuse, la tourneuse, etc., par la même analogie qu’on dit, la charbonnière, la perruquière, la chapelière, etc. — (Léger Noël, La clef de la langue et des sciences, ou Nouvelle grammaire française encyclopédique et morale, Dutertre, Paris, 1845-1861, page 511)

• La prononciation \pɛ.ʁy.kjɛʁ\ rime avec les mots qui finissent en \ɛʁ\.
• Somain (France) : écouter « perruquière  »

→ Modifier la liste d’anagrammes