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Toilepeinte et glacée, dont on pensait au XVIIIe siècle qu’elle était importée de Perse alors qu’en réalité elle venait d’Inde.
Simple, mais très-confortable, ce petit salon était tendu et meublé de toile de perse, comme le reste de la maison.— (Eugène Sue,Les Mystères de Paris, 1843)
Les chambres à coucher, tendues de perse, se recommandent par une coûteuse simplicité.— (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
Le lit à colonnes chastement drapé de vieille perse à ramage était remplacé par une couchette de noyer garnie du rideau à flèche.— (Gérard de Nerval, « Sylvie », in Les Filles du feu, 1854)
Sur le bord, au long des fossés, de pauvres gens s’en allaient à pied derrière de petites voitures à bras pleines de meubles de l’ancien temps, des bergères fanées, des tables Empire, des miroirs garnis de perse— (Alphonse Daudet, « Les paysans à Paris », in Contes du lundi, 1873, Fasquelle, collection Le Livre de Poche, 1974, page 74)
Ma chambre, peinte en blanc et tendue de perse, est empreinte des grâces galantes du XVIIIe siècle.— (Anatole France, Le Crime de Sylvestre Bonnard, Calmann-Lévy, éditions Le Livre de Poche, 1967, page 86)
Qui concerne la Perse antique, son peuple ou sa langue.
Ainsi parlait Hérodote des Sassanides, soulignant la particularité du zoroastrisme, culte officiel de l’État perse de l’époque : son monothéisme.— (Célian Macé, « Ainsi parlait le zoroastrien », dans Libération, du 3 août 2012, page 4)