Singulier | Pluriel | |
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Masculin | prêcher un converti \pʁɛ.ʃe œ̃ kɔ̃.vɛʁ.ti\
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prêcher des convertis \pʁɛ.ʃe de kɔ̃.vɛʁ.ti\ |
Féminin | prêcher une convertie \pʁɛ.ʃe yn kɔ̃.vɛʁ.ti\ |
prêcher des converties \pʁɛ.ʃe de kɔ̃.vɛʁ.ti\ |
prêcher un converti \pʁɛ.ʃe œ̃ kɔ̃.vɛʁ.ti\ (se conjugue → voir la conjugaison de prêcher)
M. de Tocqueville et M. Agénor de Gasparin sont de nobles esprits; ils aiment les généralités, et ils savent quelquefois les rendre éloquentes : rien de mieux. Seulement, pourquoi ne s'aperçoivent-ils pas qu'ils prêchent des convertis?— (Chronique de la quinzaine (31 mai 1845), dans la Revue des deux Mondes, Paris, 1845, vol.10, p.1027)
Ce serait prêcher une convertie que de vouloir m'en convaincre.— (Ghis Simon-Constans, Elle te plaisait, hein, la serveuse du bar ?, Société des Écrivains, 2011, p.53)
Gabrielle, arrêtez ! Vous vous épuisez à prêcher des converties : les gouvernements n'ont plus d'argent, la Crise est effrayante dans l'Ouest et même en Ontario.— (Marie Laberge, Gabrielle: roman, Les Éditions du Boréal, 2000, p. 370)