Singulier | Pluriel |
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priseur | priseurs |
\pʁi.zœʁ\ |
priseur \pʁi.zœʁ\ masculin (pour une femme, on dit : priseuse)
il devait être éloquent : aussi, malgré son front trop haut, ses cheveux en forêt vierge et son nez de priseur, la Fanfarlo le trouva presque bien.— (Charles Baudelaire, La Fanfarlo, 1847 ; Gallimard, 2012, collection Folio, page 59.)
Vers l’époque de ma première communion, faisant partie en qualité d’externe d’une école dirigée par un prêtre (vieux priseur à faciès de corsaire espagnol, originaire du Roussillon, qui pinçait ferme quand on n’était pas sage), je reçus comme livre de prix l’ouvrage du cardinal Wiseman, Fabiola.— (Michel Leiris, L’âge d’homme, 1939, collection Folio, page 82.)
Chiqueurs et priseurs, surtout, prétendaient que le tabac qu’on leur vendait avait « une odeur urineuse ».— (Étienne Dupont, Le vieux Saint-Malo : Les Corsaires chez eux, Édouard Champion, 1929, p. 111)
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priseur | priseurs |
\pʁi.zœʁ\ |
priseur \pʁi.zœʁ\ masculin (pour une femme, on dit : priseuse)
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