Nom propre |
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rivière de Nice \ʁi.vjɛʁ də nis\ |
rivière de Nice \ʁi.vjɛʁ də nis\ féminin
Sa Majesté elle-même, complétait l’expression de sa pensée en faisant spontanément une allusion mélancolique au séjour que font actuellement sur la Rivière de Nice l’Empereur d’Autriche-Hongrie, le Prince de Galles et plusieurs autres membres des familles régnantes : c’est là, dans sa pensée, une preuve manifeste de la considération et de la confiance que nous avons reconquises auprès des cours européennes.— ( Documents diplomatiques français, 1871-1914. Série 1,Tome 11 / Ministère des affaires étrangères. Commission de publication des documents relatifs aux origines de la guerre de 1914, document du 12 mars 1894, page 107[1].)
Notre rivière de Nice, elle aussi, marie les montagnes et les vagues, les neiges éternelles et la végétation tropicale ; mais de part et d’autre l’homme s’y rencontre ; ni les Alpes, ni la côte ne l’ont expulsé.— (Georges Goyau, « Le Régime de la grande propriété dans les Calabres » in Revue des Deux Mondes, 4e période, tome 145, 1898 (pages 80-103), page 81. Textes procuré en ligne par Wikisource : s:Le Régime de la grande propriété dans les Calabres pour l’article et s:Page:Revue des Deux Mondes - 1898 - tome 145.djvu/87 pour la page 81)
Le domaine de la couronne se compose tout d’abord d’un territoire dix fois grand comme la Belgique, situé dans la région caoutchoutière du Congo et qui comporte les plus belles forêts du territoire ; en second lieu de six mines qui ne sont pas encore déterminées, mais que le Souverain se réserve de choisir, le jour où l’on aura trouvé au Congo des métaux précieux ; enfin d’un nombre considérable d’immeubles, à Bruxelles, à Ostende ou bien sur la rivière de Nice.— (Émile Vandervelde, les Crimes de la colonisation capitaliste, 1906, page 25. Texte procuré en ligne par Wikisource : s:Les Crimes de la colonisation capitaliste et s:Page:Vandervelde - Les Crimes de la colonisation capitaliste.djvu/31 pour la page 25)
Nom propre |
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rivière de Nice \ʁi.vjɛʁ də nis\ |
rivière de Nice \ʁi.vjɛʁ də nis\ féminin
Promenade en calèche dans la vallée de la rivière de Nice, sur le côté droit du torrent ; revenus sur le côté gauche.— (Gustave Flaubert, Notes de voyage, I, « Voyage en famille (avril-mai 1845) », édition L. Conard de 1910, page 38. Procuré en ligne par Wikisource : s:Notes de voyages/Voyage en famille et s:Page:Flaubert - Notes de voyages, I.djvu/21 pour la page 18.)