Singulier | Pluriel | |
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Masculin | régulateur \ʁe.ɡy.la.tœʁ\
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régulateurs \ʁe.ɡy.la.tœʁ\ |
Féminin | régulatrice \ʁe.ɡy.la.tʁis\ |
régulatrices \ʁe.ɡy.la.tʁis\ |
régulateur \ʁe.ɡy.la.tœʁ\ masculin
Bientôt, il n’y eut plus sur le quai que les officiers, debout devant les portes de leurs compartiments respectifs, que quelques fourriers se hâtant dans les intervalles, et que le commandant de la gare régulatrice, que j’apercevais sous un réverbère, avec son dolman noir et son képi à bande blanche.— (Pierre Benoit, La Chaussée des géants, 1922, Albin Michel, réédition Le Livre de Poche, page 61)
Je m’adressais à l’un des officiers régulateurs, reconnaissables à leurs brassards blancs, qui me procura une place dans une auto de tourisme en route pour l’ambulance de Sauchy-Cauchy.— (Ernst Jünger, Orages d’acier, 1961 ; traduit de l’allemand par Henri Plard, 1970, page 334)
Singulier | Pluriel |
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régulateur | régulateurs |
\ʁe.ɡy.la.tœʁ\ |
régulateur \ʁe.ɡy.la.tœʁ\ masculin (pour une femme, on dit : régulatrice)
Singulier | Pluriel |
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régulateur | régulateurs |
\ʁe.ɡy.la.tœʁ\ |
régulateur \ʁe.ɡy.la.tœʁ\ masculin
Le régulateur supprimé, ça ne souffrait plus de difficulté.— (Georges Arnaud, Le Salaire de la Peur, 1950)
Aussi ponctuel que la pendule du bureau, le meilleur régulateur de Londres, selon lui, après l’horloge d’une vieille église inconnue, cachée dans un coin, près de là…— (Charles Dickens, Vie et aventures de Nicolas Nickleby, 1885)
Pour garantir le bon fonctionnement du marché intérieur de l’électricité, il convient que les régulateurs de l’énergie soient en mesure de prendre des décisions concernant tous les aspects réglementaires pertinents et qu’ils disposent d’une indépendance totale par rapport aux autres intérêts publics ou privés.— (DIRECTIVE 2009/72/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 13 juillet 2009 concernant des règles communes pour le marché intérieur de l’électricité, Journal officiel de l’Union européenne)
Il avait mis son régulateur au dernier tour et le soc mordait franchement, très bas. Le « talon » laissait dans la raize une traînée fraîche et les mottes, en bonne trempe, s’émiettaient d’elles-mêmes en croulant au soleil ; un léger hersage et la terre serait prête, fine comme cendre.— (Ernest Pérochon, Nêne, 1920)