s’autorévéler \s‿o.to.ʁe.ve.le\ pronominal 1er groupe (voir la conjugaison)
Pour des raisons longuement accumulées, et dont les unes sont assez claires (intérêt pour les problèmes du réalisme, du sens politique des textes dans un monde où tout visait à les déposséder dans ce domaine, à les dédimensionner), et dont d’autres certainement m’échappent mais que les malins sauront bien lire, qui me voient et me lisent du dehors et que je ne récuse pas, il se trouve que mon champ d’enquête et de réflexion est à peu près celui du roman mimétique, interprétatif et révélateur (et par là même comme autorévélé), et de la dramaturgie de même nature et portée, qui accompagnent et signalent à la fois le changement d’univers entre l’autrefois héroïque et l’aujourd'hui marchand déjà travaillé par ses propres difficultés.— (Pierre Barbéris, Le Prince et le Marchand, 1980)
C’est le Christ glorifié lui-même qui emprunte, dans la distance historique qui les sépare, la langue de Jean pour s’autorévéler (fanêroustai) (2 fois).— (Clémence Hélou, Symbole et langage dans les écrits johanniques : Lumière-Ténèbres, 1980, page 94)
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