Singulier | Pluriel | |
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Masculin et féminin |
saxicole | saxicoles |
\sak.si.kɔl\ |
saxicole \sak.si.kɔl\ masculin et féminin identiques
Un lichen saxicole pousse sur un support minéral, roche ou béton.
Diguet, auteur d’une très bonne monographie sur les cactées du Mexique, nous indique les tenochtli comme étant des cactées saxicoles, sauvageons, aux fruits relativement durs et peu digestes, l’Opuntia tapona.— (Patrick Allain et Joaquim Galarza, Glyphes de plantes de la vie quotidienne des Aztèques dans le Codex Mendoza (XVIe siècle) publié dans Les Cahiers d'Outre-Mer, 1992, page 233)
Singulier | Pluriel |
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saxicole | saxicoles |
\sak.si.kɔl\ |
saxicole \sak.si.kɔl\ masculin ou féminin (l’usage hésite)
Mieux que cela encore: il y avait dans la patrie du Merle blanc et du Merle de roche un Saxicole non classé qui avait à peu près les allures et les goûts de ces deux derniers moules, et qui méritait, par conséquent, d’être classé parmi les Merles, où Cuvier l'avait mis. Or, attendu que le Saxicole en question était décoré de la queue blanche, ils l’ont revendiqué et inventorié comme Traquet !— (Alphonse Toussenel, Le monde des oiseaux, Ornithologie passionnelle, volume 2, Librairie phalanstérienne, 1855, page 287)
Le Saxicole, vulgairement traquet motteux, pratique une sorte de voltige semblable à celle de l’alouette.— (Alfred Espinas, Des Sociétés animales, étude de psychologie comparée, Librairie Germer Baillière, 1877, page 151)
Genre d’oiseaux insectivores appelés motteux par certains auteurs, et dans lequel on distingue: la saxicole rubicole, dite pâtre, pied noir, et appelée traquet par Buffon; la saxicole perspicillée, vulgairement clignot; la saxicole œnanthe, connue sous les noms vulgaires de motteux, garde-charrue , traquet motteux et vitrec; la saxicole rubètre, dite vulgairement tarier; la saxicole imitatrice, nommée imitateur, grand motteux, traquet imitateur et appelée par Buffon cul blanc du cap de Bonne Espérance, c'est l’œnanthe imitatrice de certains auteurs.— (Héloïse Neefs, Les disparus du Littré, Fayard, 2008, page 1121)