Singulier | Pluriel |
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sociobiologie | sociobiologies |
\sɔ.sjɔ.bjɔ.lɔ.ʒi\ |
sociobiologie \sɔ.sjɔ.bjɔ.lɔ.ʒi\ féminin
La sociobiologie pourrait n'être qu'un avatar amusant de l'histoire des religions ou des pseudo-sciences. Malheureusement ses excès et la place qu'elle a usurpée dans les médias et dans les instances scientifiques de quelques pays tend à faire oublier les progrès considérables de la neurobiologie, de la physiologie du comportement et de l'éthologie animale et humaine.— (André Langaney, Biologie du comportement ou sociobiologie ?, dans Sciences sociales et défi de la sociobiologie, études éditées par Gérald Berthoud, Revue européenne des sciences sociales, 1985, t.23, no 69, p.85)
D’un côté, donc, une position " procréationniste " à peine dissimulée, du nom de ce courant chrétien qui insiste sur le caractère de vérité littérale des écrits bibliques ; de l’autre, le développement de certaines thèses scientistes, notamment celle de la " sociobiologie ", qui prétendent réduire tous les comportements humains à leur analyse génétique.— (Nicolas Mathey, L’âge des rocs, dans L'Humanité du 25 mai 2000)
La sociobiologie est donc tout simplement la recherche d’une explication darwinienne aux comportements. L’évolutionnisme est un aspect essentiel de la définition et l’omission de cet élément n’est pas anodine ; cela permet de passer sous silence le fait que la sociobiologie est un outil d’interprétation et d’investigation pour la présenter comme un projet politique.— (La démagogie est-elle génétique ?, dans Le Québec sceptique, no 58, p.17, automne 2005)
Singulier | Pluriel |
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sociobiologia \so.tʃo.bi.o.lo.ˈdʒi.a\ |
sociobiologie \so.tʃo.bi.o.lo.ˈdʒi.e\ |
sociobiologie \so.tʃo.bi.o.lo.ˈdʒi.e\ féminin