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Simplement une douleur infinie, une souffrance continue, sans trêve ni repos, la souffrance cruelle et injuste des êtres inconscients, enfants ou animaux, qui n’ont même pas l’amère consolation de comprendre pourquoi et comment ils souffrent…— (Isabelle Eberhardt, Yasmina, 1902)
Car il n’était pas fait pour la vie de collège. Pour lui, elle était un supplice renouvelé tous les jours. On comprenait, en l’observant, qu’il avait tellement pris l’habitude de souffrir que la souffrance était devenue sa meilleure amie.— (Valery Larbaud, Fermina Márquez, 1911, réédition Le Livre de Poche, page 163)
Les jours qui suivirent furent pour la malheureuse fillette, qui découvrait à la fois l’amour et la souffrance, un supplice de tous les instants.— (Out-el-Kouloub, Zaheira, dans « Trois contes de l'Amour et de la Mort », 1940)
— Moi, dit Pierson, il me semble que j’essaierais de supporter mes souffrances. — Oh ! toi, naturellement ! Vous vénérez la souffrance, vous autres chrétiens ! — Nous ne la vénérons pas, nous essayons de l’accepter. — Ça revient au même.— (Robert Merle, Week-end à Zuydcoote, 1949, réédition Le Livre de Poche, page 148)
Elle allait mourir dans des souffrances atroces, sans que rien pût la soulager.— (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
Un des effets les plus immédiats de la souffrance est le repliement, pour ne pas dire l'enfermement sur soi.— (Bruno Chenu, Disciples d'Emmaüs, Bayard, Paris, 2003, page 124)