sous-numéroter

De numéroter, avec le préfixe sous-.

sous-numéroter \su.ny.me.ʁɔ.te\ transitif 1^er groupe (voir la conjugaison)

1. Attribuer un numéro accessoire, pour distinguer plusieurs parties d’un élément déjà numéroté.
   • Il n’en est pas moins utile que chaque affaire reçoive son numéro, mais peut-être serait-il utile de sous-numéroter les pièces d’une même affaire, soit en employant des lettres, soit des chiffres romains. — (Maurice Block, Dictionnaire de l’administration française, 1891, 3^e édition, volume 1, page 37)
   • Par exemple les textes de Jean-Paul II ne comptent qu’un petit nombre de paragraphes principaux, mais qui sont chacun un petit chapitre à soi seul ; il a donc fallu, pour la commodité des renvois, sous-numéroter les paragraphes secondaires (cf. Laborem exercens 13.4), selon le principe qu’avait adopté le concile Vatican II pour Gaudium et spes. — (Centre de recherche et d'action sociales, Le discours social de l'Église catholique, 2009, page 15)
   • Les hangars, remises, granges, ateliers, garages sont considérés comme faisant partie du bâtiment principal déjà numéroté et seront éventuellement sous-numérotés. — (site https://docplayer.fr/6332792-Artistes-de-rue-6-briquets-8-brocantes-9-bruit-12-generalites-12-activites-foraines-14-chiens-16.html)