sémiologie

(Date à préciser) Du grec ancien σημεῖον, sêmeion (« signe ») et -logie.

sémiologie \se.mjɔ.lɔ.ʒi\ féminin

1. Description spécifique de systèmes de signes particuliers.
   • La théorie générale des signes a été baptisée sémiologie par Ferdinand de Saussure.
   • Pas de sémiologie qui finalement ne s’assume comme une sémioclastie. — (Roland Barthes, Préface de 1970 aux Mythologies)
2. Partie de la médecine qui traite des signes cliniques et des symptômes des maladies.
   • Le patient n’aura conservé aucun souvenir conscient de votre visite et il vous saluera comme la première fois. Les externes en médecine qui découvrent ainsi la sémiologie neurologique répètent souvent à souhait ce test clinique abasourdissant. — (Lionel Naccache, Le Nouvel Inconscient : Freud, le Christophe Colomb des neurosciences, Odile Jacob, 2009, page 389)
   • La sémiologie générale indique une incidence importante du traumatisme sexuel sur la sphère cognitive. — (Philippe Bessoles, « Viol / inceste / abus sexuels », in Le Viol du féminin : Trauma sexuel et figures de l’emprise, Champ social, coll. « Victimologie & criminologie », 2011, page 137)

• sémantique
• sémiotique (2)
• séméiologie (2)

• sémiologue
• sémiologiste

• France (Muntzenheim) : écouter « sémiologie  »

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