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terre-à-terre \tɛ.ʁ‿a.tɛʁ\ |
terre-à-terre \tɛ.ʁ‿a.tɛʁ\ masculin et féminin identiques
Le décalage s'accentuait d'autant plus que le monde de l’Assistance a évolué, concernant de nouveaux domaines de la vie quotidienne beaucoup plus terre-à-terre (assistance et aide quotidienne en cas d'hospitalisation par exemple).— (Claire Couratier & Christian Miquel, Les études qualitatives: théorie, applications, méthodologie, pratique, page 53, L'Harmattan, 2007)
Il adapta ses ambitions à des considérations plus terre à terre comme trouver un petit boulot pour se nourrir.— (Grégoire Nguédi, Voyage entre ciel et terre, page 39, L'Harmattan, 2011)
Plus terre à terre que lui, il fallait vraiment être un concombre ou une patate !— (Marie Décary, Rendez-vous sur planète Terre, page 46, Éditions La courte échelle, 1998)
terre-à-terre \tɛ.ʁ‿a.tɛʁ\ masculin singulier (Indénombrable)
Vision ambitieuse, projection sur l'avenir, cette progression se paie par des conditions qui, justement, nient le rêve: un terre à terre qu'on accomplit avec patience et méthode.— (Anne Dentan, Entre terre et ciel: besoins et providences à Mexico, page 96, Éditions d'En bas; 1987)
Confucius était un moraliste qui se méfiait de l’intelligence ; le terre à terre des relations humaines lui plaisait mieux que la spéculation ondoyante.— (Paul Demiéville, La montagne dans l'art littéraire chinois, dans Choix d'études sinologiques (1921-1970), p.364, BRILL, 1973)
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terre-à-terre \tɛ.ʁ‿a.tɛʁ\ |
terre-à-terre \tɛ.ʁ‿a.tɛʁ\ masculin
Le terre-à-terre est un petit galop de deux pistes, et en deux temps, c'est-à-dire une continuation de petits sauts fort bas et près de terre, pendant lesquels le cheval gagne toujours du terrain obliquement de côté, en levant et en posant en même temps les pieds de devant, et en agissant de même des pieds de derrière.— (Félix van der Meer, Connaissances complètes du cavalier, de l'écuyer et de l'homme de cheval, page 246, Lebègue & Cie à Bruxelles & Dumaine à Paris, 1865)
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terre-à-terre \tɛ.ʁ‿a.tɛʁ\ |
terre-à-terre \tɛ.ʁ‿a.tɛʁ\
Ce sont ces bâtiments qui enlèvent les barques et les felouques qui vont terre à terre, et font souvent des prises considérables et un grand nombre d'esclaves, .— (Laurent d'Arvieux, 1666, cité dans : Paul Sebag, Tunis au XVIIe siècle, p.96, L'Harmattan, 1989)