Singulier | Pluriel |
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tokay | tokays |
\tɔ.kaj\ |
tokay \tɔ.kaj\ masculin
Pour comble de félicité,— (Voltaire)
Vous possédez, dans votre cave,
De ce tokai dont j'ai tâté.
Je mangeai cependant de bon appétit quelques écrevisses, une aile de poulet arrosée d’un peu de vin de Tokay qu’il avait apporté lui-même, me disait-il, des caves de Kœnisgberg, fréquentées autrefois par Falstaff.— (Gaston Leroux, Le Fantôme de l'Opéra, 1910)
Dans la salle à manger, de quel air il tourne la clef du buffet ! L’enfant sait bien que ce n’est là qu’un jeu, mais l’oncle y semble pris lui-même. Il renifle comme pour flairer où cela sent le meilleur ; s’empare d’une bouteille de tokay ; en verse deux petits verres où tremper des biscuits ; il invite à trinquer, un doigt sur les lèvres ; le cristal sonne imperceptiblement…— (André Gide, Les Caves du Vatican, 1914)
– Un verre de tokay à jeun, mon enfant, rien de tel pour vous décaper les papilles de la langue.— (Pierre Benoit, Le Soleil de minuit, Albin Michel, 1930, réédition Le Livre de Poche, page 174)
Singulier | Pluriel |
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tokay \Prononciation ?\ |
tokays \Prononciation ?\ |
tokay \Prononciation ?\
tokay