Singulier | Pluriel |
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traiteur-pâtissier | traiteurs-pâtissiers |
\tʁɛ.tœʁ.pa.ti.sje\ |
traiteur-pâtissier \tʁɛ.tœʁ.pa.ti.sje\ masculin
À qui crier : « Trop tard, la vie est passée. On recommence mal ce qui est mal fini » ? Sûrement pas à ces passants pressés, aux étudiants en médecine faisant la queue devant un traiteur-pâtissier, ce qui l’oblige à descendre du trottoir sans prendre soin de regarder qui vient sur la chaussée.— (Michel Déon, La cour des grands, Gallimard, 1996, page 10)
Rien de plus curieux que de voir des corporations, telles, par exemple, que celles des boulangers, des perruquiers, des traiteurs-pâtissiers, des savetiers, appuyer leurs revendications sur de longs exposés historiques, citer des édits royaux, analyser en un langage incorrect et diffus l’œuvre ou l’esprit des anciens Etats-généraux et parler de ce qu’ils appellent l’ancienne constitution du pays.— (A. E. Borély, Histoire de la ville du Havre et de son ancien gouvernement, 1881, page 599)
Des jetons des corporations des Traiteurs-pâtissiers et des vitriers-peintres sur verre portent assez souvent au ℟ des noms gravés en creux (cf. Preux, Ann. Soc. fr. Num., 1867, 259).— (J. Adrien Blanchet, Nouveau manuel de numismatique du moyen âge et moderne, 1890, page 423)