unissable

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Étymologie

(XVIIe siècle)[1] Dérivé de unir, avec le suffixe -able.

Adjectif

Singulier Pluriel
Masculin
et féminin
unissable unissables
\y.ni.sabl\

unissable \y.ni.sabl\ masculin et féminin identiques

  1. Qui peut être uni (à autre chose).
    • Mais une preuve univoque, que cette possession n’avoit rien de commun avec la proprieté, & qu’elle restoit toûjours unie & unissable au Fief, c’est qu’on ne l’a ni moins reconnuë, ni moins venduë. — (Apologie des divers droits demandés par Leurs Excellences contre la Ville & l’Hôpital d’Aubonne, sans éditeur, 1716, page 164)
    • Or, le non-être paraît, sous tous ces rapports, unissable à toute idée et être aussi bien que toute autre chose ; mais il ne doit pas être exprimé comme indiquant le contraire de l’être, mais seulement comme autre chose que l’être. — (Heinrich Ritter, Histoire de la philosophie, tome II, traduit par C.-J. Tissot, Librairie De Ladrange, Paris, 1835, page 209)
    • Il est évident (...) qu’il est de la raison de l’âme humaine d’être unissable au corps humain. — (Thomas d’Aquin, traduit par Édouard-Henri Wéber, in La personne humaine au XIIIe siècle, Librairie philosophique J. Vrin, Paris, 1991, page 403)

Apparentés étymologiques

Traductions

Anagrammes

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Références

  1. « ... laquelle seule est unissable à l’esprit divin. » dans Le Jour mystique ou l’Éclaircissement de l’oraison et théologie mystique, tome second, Denys Thierry, Paris, 1671, page 164.