Singulier | Pluriel |
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vedette américaine | vedettes américaines |
\və.dɛ.t‿a.me.ʁi.kɛn\ |
vedette américaine \və.dɛ.t‿a.me.ʁi.kɛn\ féminin
Vince Taylor passa en vedette à l’Olympia, avec, en vedette américaine, Henri Tisot, l’imitateur du général De Gaulle et en vedette anglaise, à l’antépénultième place, Rosalie Dubois une ancienne poissonnière qu’on présenta —maladroitement— comme une nouvelle Piaf alors que cette dernière était encore en vie.— (Alain Paucard, Paris est un roman : anecdotes, 1942–2000, L’Âge d’Homme, Lausanne, 2005, p. 53)
Ici, la vedette américaine est une « sous-vedette » suffisamment importante pour avoir une fin de première partie (le moment où le public part à l’entracte). La « vedette américaine » « chauffe la salle » ; la qualité de sa prestation et le succès qui en découle met le public en de bonnes conditions pour apprécier et applaudir la vedette en titre en seconde partie.— (Christophe Mirambeau, Saint-Luis, Éditions Flammarion, 2013)