Singulier | Pluriel | |
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Masculin | xiongnu \sjɔ̃ɡ.nu\ ou \ɡzjɔ̃ɡ.ny\
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xiongnus \sjɔ̃ɡ.nu\ ou \ɡzjɔ̃ɡ.ny\ |
Féminin | xiongnue \sjɔ̃ɡ.nu\ ou \ɡzjɔ̃ɡ.ny\ |
xiongnues \sjɔ̃ɡ.nu\ ou \ɡzjɔ̃ɡ.ny\ |
Invariable |
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xiongnu \sjɔ̃ɡ.nu\ ou \ɡzjɔ̃ɡ.ny\ |
xiongnu \ʃjɔ̃ɡ.nu\ masculin invariable
La civilisation xiongnue apparaît en Asie centrale au cours du IIIe siècle avant notre ère.— (« Interview de Sophie Thorimbert, archéologue et céramologue, à propos de ses recherches sur la céramique xiongnue », dans Magmouth : le journal de Celtagora, <celtagora.com>, printemps 2011)
IIe siècle av. J.-C. > Premiers écrits mentionnant des tribus mongoles : les Xiongnu. Invasion xiongnue repoussée par la Chine.— (Dominique Auzias (directeur), Le Petit Futé Mongolie, 2010)
Shi Le, de la tribu des Jie (une des cinq tribus xiongnues), est un général du Han Zhao et contrôle son propre territoire du Zhao antérieur conquis durant la révolte des Wu Hu.— (« Chine », Petits et grands massacres de l’Histoire, <geopolis.perso.neuf.fr>, 17 octobre 2010)
L’existence de grands cimetières xiongnu est témoin de l’emploi de lieux fixes dans la culture xiongnu sans être aucunement le produit de l’influence chinoise.— (Sophia-Karin Psarras, « Études sur la Chine ancienne », dans Pierre Lévêque (directeur), Dialogues d’histoire ancienne : 1993, volume 19, numéro 2, 1993)