Singulier | Pluriel | |
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Masculin | épateur \e.pa.tœʁ\
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épateurs \e.pa.tœʁ\ |
Féminin | épateuse \e.pa.tøz\ |
épateuses \e.pa.tøz\ |
épateur \e.pa.tœʁ\ masculin
Ce W.-K. Goldcock, un épateur sans vergogne, évidement, à moins d’un habile fumiste !— (Alphonse Allais, ‘’Œuvres posthumes, année 1904’’, Robert Laffont, Paris, 1990)
En effet, le surréalisme, tout en étant ravagé par le pansexualisme freudien jusqu'à la provocation épateuse du bourgeois, ne fut jamais, n’est-ce pas, un haras d'étalons aux dures virilités.— (Jean Cau, Croquis de mémoire, chapitre 29: Aragon et Breton, Tzara, Artaud ; Éditions Julliard, Paris, 1985, page 171.)
Dites donc, tout à l'heure, je l'entendais parler ; il a l'air un peu épateur, votre petit camarade.— (Tristan Bernard, Le prince charmant, acte premier, dans le Théâtre de Tristan Bernard, tome III ; Éditions Calmann-Lévy, Paris, 1923, page 25)
Singulier | Pluriel |
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épateur | épateurs |
\e.pa.tœʁ\ |
épateur \e.pa.tœʁ\ masculin (pour une femme, on dit : épateuse)
Ils l’appelaient Colle d’Épate. parce qu’il était censé être collant et épateur.— (Henry de Montherlant, Un assassin est mon maître, Bibliothèque de la Pléiade, Romans II, page 1108)