Singulier | Pluriel |
---|---|
épître | épîtres |
\e.pitʁ\ |
épître \e.pitʁ\ féminin (orthographe traditionnelle)
Les épîtres de Cicéron.
Les épîtres familières.
Les épîtres de saint Paul.
Il s’assit et écrivit en français une épître ainsi conçue : ….— (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
Tout à coup Planchet entra, apportant deux lettres à l’adresse de d’Artagnan.— (Alexandre Dumas, Les Trois Mousquetaires, 1844, réédition Les Classiques de Poche, page 559)
L’une était un petit billet gentiment plié en long, avec un joli cachet de cire verte sur lequel était empreinte une colombe rapportant un rameau vert.
L’autre était une grande épître carrée, et resplendissante des armes terribles de Son Éminence le cardinal-duc.
Dauriat, incapable de prendre cette épître au sérieux, répondit par des railleries de libraire, une lettre faite entre cinq ou six journalistes.— (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
Voici en peu de mots l'histoire de ces malheureuses épîtres.— (Jean Ray, Harry Dickson, L'Affaire Bardouillet, 1935)
Les épîtres d’Horace, de Boileau, de Pope.
Épître dédicatoire.
Les poëtes académiques du XVIIe et du XIIIe siècle n’auraient pas plus compris de telles inspirations que les paysans n’eussent admiré leurs odes, leurs épîtres et leurs poésies fugitives, si incolores, si gourmées.— (Gérard de Nerval, Les Filles du feu, Chansons et légendes du Valois, 1854)
La messe en est à l’épître.
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