Singulier | Pluriel |
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équitation | équitations |
\e.ki.ta.sjɔ̃\ |
équitation \e.ki.ta.sjɔ̃\ féminin
J'ai chevauché dans bien des pays, mais nulle part l’équitation ne m'a paru aussi pénible qu'en Islande ; la faute en est moins aux chevaux qu'au pays même, dont le sol rude et inégal, absolument dépourvu de routes, ne permet que rarement un changement d'allure; .— (Jules Leclercq, La Terre de glace, Féroë, Islande, les geysers, le mont Hékla, Paris : E. Plon & Cie, 1883, page 94)
il fit descendre à reculons à son cheval la pente qu’il avait gravie, et traversa la lice de la même manière, . Cette nouvelle preuve d’adresse en équitation lui valut les applaudissements de la multitude.— (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
Enguerrand Lorien, l'ami intime de mon défunt mari, Perrot Travigny, et l'ancien écuyer des comtes de Vimoutiers, nos voisins, vous instruisirent aux armes, au maniement de la lance et de l'épée, à l’équitation, enfin à toutes les choses de la chevalerie, .— (Alexandre Dumas, Les Deux Diane, 1847, chap.1)
Le goût de l’équitation, autrefois si prononcé en France, est aujourd’hui en partie perdu où tout le monde préfère monter en voiture ; aussi le cheval de selle est-il presque délaissé.— (Jean Déhès, Essai sur l’amélioration des races chevalines de la France, École impériale vétérinaire de Toulouse, Thèse de médecine vétérinaire, 1868)
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