ἀκή

(Nom commun 1) Avec pour dérivé ἤκιστος, ḗkistos (« le plus lent »), apparenté^[1] au latin segnis (« lent, indolent »).

(Nom commun 2) De l’indo-européen commun^[1] *iek- (« dire ») : les plus anciennes formes de guérison étaient des incantations ; apparenté au latin iocus, iocor, voir le breton yacʼh (« sain, bien portant »).

(Nom commun 3) Voir ἀκίς, akís (« pointe »).

ἀκή, akḗ féminin

1. Silence.
   • ἀκὴν ἔχεν — (Mosch.2.18)

     La traduction en français de l’exemple manque. (Ajouter)

• ἀκᾷ, ἦκα

• ἀκήν (« en silence »)

ἀκή, akḗ féminin

1. Guérison, action de guérir.

• ἄκος

• ἀκέομαι

ἀκή, akḗ féminin

1. Variante de ἀκίς : pointe, tranchant.

• *\a.kɛ̌ː\ (Attique (V^e siècle av. J.-C.))
• *\aˈke\ (Koinè, Égypte (I^er siècle))
• *\aˈki\ (Koinè (IV^e siècle))
• *\aˈci\ (Byzance (X^e siècle))
• *\aˈci\ (Constantinople (XV^e siècle))

• Émile Pessonneaux, Dictionnaire grec-français, Belin Frères, 1898
• « ἀκή », dans Henry Liddell, Robert Scott, Henry Stuart Jones, Roderick McKenzie, A Greek–English Lexicon, Clarendon Press, Oxford, 1940 → consulter cet ouvrage
• « ἀκή », dans Henry Liddell, Robert Scott, An Intermediate Greek–English Lexicon, Harper & Brothers, New York, 1889 → consulter cet ouvrage