كَافُورٌ

Application du schème زَارُوزٌ (« qui est de telle nature ») à la racine ك ف ر (« couvrir, renier »).

(Nom commun 1) (Nom commun 2) Du persan كافور, kāfūr, du nom malais kapur Barus qui veut dire « craie de Barus ». Les marchands malais, qui vendaient le camphre aux négociants venus d'Inde et du Moyen-Orient, l'appelaient kapur (craie) à cause de sa couleur blanche. Barus était le port sur la côte ouest de l'île indonésienne de Sumatra où les marchands étrangers venaient acheter le camphre.

(Nom propre) De l’italien Cavour.

كَافُورٌ (kâfûrũ) /kaː.fuː.run/ écriture abrégée : كافور

pluriel : كَوَافِرُ (kawâfiru), كَوَافِيرُ (kawâfîru)

1. Enveloppe de la fleur du palmier.
2. Nodosités du cep de vigne d'où poussent les grappes.
3. Kafour, nom donné par antiphrase aux esclaves noirs.

كَافُورٌ (kâfûrũ) /kaː.fuː.run/ écriture abrégée : كافور

pluriel : كَوَافِرُ (kawâfiru), كَوَافِيرُ (kawâfîru)

1. (Chimie) Camphre.
   • Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
2. (Botanique) Camphrier (Cinnamomum camphora).
3. Eucalyptus camaldulensis.

كَوْفَرَ (kawfara) : embaumer (un mort).

• Allemand : Kampfer
• Anglais : camphor
• Catalan : càmfora
• Espagnol : alcanfor
• Français : camphre
• Hongrois : kámfor
• Latin : camphora
• Tchèque : kafr

كَافُورٌ (kâfûrũ) /kaː.fuː.run/ écriture abrégée : كافور

1. Cavour, Camillo Benso, comte de Cavour.
   • Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
2. Kafour, nom d'une source du paradis mahométan.

• كافور sur l’encyclopédie Wikipédia (en arabe)