Singulier | Pluriel |
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Provençal \pʁɔ.vɑ̃.sal\ |
Provençaux \pʁɔ.vɑ̃.so\ |
Provençal \pʁɔ.vɑ̃.sal\ masculin (pour une femme, on dit : Provençale)
Charles aima Bettina Wallenrod autant qu’il était aimé d’elle, et c’est beaucoup dire ; mais quand un Provençal s’exalte, tout chez lui devient naturel en fait de sentiment.— (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
Dans le Languedoc, ils m’appellent Provençal. Mais c'est moi qui m'suis gouré en disant mon nom. Sinon, en Bretagne, c'est le Gros Faisan au sud, et au nord, c'est juste Ducon ...— (Franck Pitiot, Kaamelott, Livre III : Le Sanglier de Cornouailles, écrit par Alexandre Astier)
Vers la fin du siècle dernier, le vélocifère, prédécesseur de la diligence et des messageries, débarquait à Paris un provençal, plein de verve et d'entrain, né dans la ville d’Aix, et bossu, comme Ésope, par devant et par derrière.— (« Désorgues (Théodore) », dans le Dictionnaire de la conversation et de la lecture, 2e édition, tome 7, Paris : chez Firmin Didot frères, fils et Cie, 1860, page 465)
Provençal \ˌpɹɑv.ən.ˈsɑl\ ou \ˌpɹoʊ.vən.ˈsɑl\ (États-Unis), \ˌpɹɒv.ən.ˈsɑːl\ ou \ˌpɹəʊ.vən.ˈsɑːl\ (Royaume-Uni)
Singulier | Pluriel |
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Provençal \ˌpɹɑv.ən.ˈsɑl\ ou \ˌpɹoʊ.vən.ˈsɑl\ |
Provençals ou Provençaux \ˌpɹɑv.ən.ˈsɑlz\ ou \ˌpɹɑv.ən.ˈsəʊ\ |
Provençal \ˌpɹɑv.ən.ˈsɑl\ ou \ˌpɹoʊ.vən.ˈsɑl\ (États-Unis), \ˌpɹɒv.ən.ˈsɑːl\ ou \ˌpɹəʊ.vən.ˈsɑːl\ (Royaume-Uni)