Sainté \sɛ̃.te\
« Ici, c’est le Barbès de Sainté », explique Hamza Ould Mohamed, responsable de jeunesse, en montrant les multiples kebabs et commerces arabes.— (Sylvia Zappi, « À Saint-Étienne, le centre-ville miné par la pauvreté », Le Monde.fr, 8 décembre 2014)
C'était un de ces copains-là, un de ceux dont les parents travaillaient depuis toujours dans les usines de « Sainté », et dont les familles étaient frappées de plein fouet par la brutalité des licenciements, qui était venu me parler le lendemain, quand j'étais rentrée de l'enterrement.— (Anne Bennet, Revoir Benny, Éditions du Cerf, 2019)
Mais bon, c’est plus fort que moi, j’aurais voulu naître à Sainté pour causer le gaga, cette langue aussi généreuse que les Stéphanois.— (Jacky Durand, « Gaga de la râpée stéphanoise », le 23/03/2019, sur le site de France Culture (www.franceculture.fr))
Une équipe qui va remporter trois titres de champion de France d’affilée (1974, 1975, 1976), toujours avec le Manufrance sur les épaules. Malheureusement, Sainté a uniquement eu le droit de porter ce maillot lors des matchs de championnat de France ou en amical.— (« Maillot rétro SAINT ÉTIENNE 1974 MANUFRANCE », sur le site Les voyages en ballon (https:/lesvoyagesenballon.fr), non daté, ©2020, consulté le 19/08/2021)